On voudrait nous faire croire que notre système économique est très bien comme il est. Le dérèglement climatique ? Nous consommons mal. La dette publique abyssale ? Nous ne sommes pas assez compétitifs. Le chômage ? Nous ne traversons pas la rue…
PROPOSITION N°1 : CONCURRENCER LE SYSTÈME MONÉTAIRE
EN ADOPTANT D’AUTRES FORMES DE PAIEMENT
Notre système bancaire et financier s’est construit petit à petit, au fil des siècles, jusqu’à devenir mondial. Créé par petites touches d’improvisation, sans vision à long terme, il n’a hélas été ni pensé ni conçu pour durer dans le temps.
Dans ce court ouvrage, nous mettons en évidence 6 failles du système bancaire et financier actuel, qui – qu’on le veuille ou non – vont nous contraindre à abandonner l’euro (une monnaie-dette parmi d’autres) de notre vivant.
PROPOSITION N°2 : CONCURRENCER LE SYSTÈME FINANCIER
EN ADOPTANT D’AUTRES MODES DE FINANCEMENT
L’austérité nous étouffe. Nos services publics se dégradent et notre qualité de vie aussi, tandis que les problèmes écologiques et sociaux s’accentuent. Ce n’est pas le travail qui manque, mais les moyens pour le rémunérer. Et si au lieu de l’austérité, on optait pour un nouveau mode de financement ?
Dans ce court ouvrage, nous revisitons deux concepts de monnaie, à savoir l’argent et le numéraire. Nous y développons l’idée de faire de la monnaie un commun. Régie de l’eau, régie de l’électricité… pourquoi pas une régie du crédit ? Ce serait une alternative efficace aux politiques d’austérité.
PROPOSITION N°3 : MODERNISER NOTRE SYSTÈME ÉCONOMIQUE
EN ADOPTANT DES TECHNOLOGIES MOINS ARCHAÏQUES
Si l’on en revient à la philosophie du siècle des Lumières, le progrès technique était censé améliorer notre productivité et nous permettre ainsi de travailler moins, afin de pouvoir mieux profiter de la vie. Ce n’est pas vraiment ce qu’il s’est produit…
Notre système économique est encore aujourd’hui loin d’être efficace. En le modernisant, nous pourrions nous passer de nombreux intermédiaires bancaires et financiers, qui engendrent un immense surcoût de la vie, d’où un inutile surcroît de travail.
Rédaction à venir.
Pour que le meilleur advienne,
commençons par lui faire une place dans notre imaginaire.